« anecdotes »Bridget ou Bee est née en France et y a vécu jusqu’à ses 16 ans avant de partir pour Londres ❅ Elle parle donc anglais et français depuis son plus jeune âge puisque que son père ne parle qu’anglais et très mal le français. Elle est plus à l’aise avec l’anglais ❅ Elle vient d’une riche famille sa mère est à la tête d’une chaîne de magasin et son père est restaurateur et ouvert plusieurs restaurant en France et en Angleterre. ❅ Elle est fille unique et s’est toujours mieux entendu avec son père qu’avec sa mère ❅ Elle n’est pas un modèle de politesse ou de courtoisie ❅ même si elle a peu d’estime d’elle, c’est plus une fille qui a fait de mauvais choix que réellement une mauvaise fille ❅ Elle est déjà venu à Gstaad plus jeune avec ses parents, son père est très ami avec le chef du Gstaad palace ❅ Elle a passé ses soirées en boite ou dans des bars à partir de ses 16 ans ❅ Elle boit beaucoup trop, vraiment beaucoup et cette habitude de l’a pas quitter ❅ Elle fume à peu près tout ce qui est fumable en ce monde ❅ Elle a déjà passé plusieurs nuits en cellule de dégrisement et s’est fait arrêter plusieurs fois par la police pour différents motifs (ivresse, vol à étalage n’en sont que des exemples) ❅ Elle a une licence de Neurobiologie, oui entre deux fêtes elle a su étudier ❅ La fidélité ne fait pas partie de son vocabulaire. A part pour un homme avec qui elle est restée deux ans, James. Le jeune homme a perdu la vie il y a 6 mois ❅ ❅ Bee a replonger dans ses vieux travers après la mort de James, alcool, drogue et a peu près tout ce qui peut la faire oublier ❅ Elle est serveuse au Gstaad et se fait passer pour une fille qui essaie de s’en sortir, elle avait besoin d’un nouveau départ ❅ Elle jure comme un camionneur, tout le temps ❅ elle a peur de croiser d’ancien(nes) ami(es) ou connaissance ❅ C’est une personne manipulatrice, cassante, égoïste, moqueuse, secrète, excessive, menteuse, je m’en-foustiste ❅ mais c’est aussi une fille serviable (enfin quand elle veut bien), souriante, qui fait souvent de l’humour, attachante et même sympa selon les personnes, elle garde aussi très bien les secrets ❅ Elle joue très bien de la guitare

« questionnaires »
pour cocher, ajouter le mot checked après votre choix, comme présenté dans chaque première réponse du questionnaire. supprimer ce message en italique, merci ♥
❅ Si vous deviez qualifier votre train de vie, vous diriez qu'il est... :
pleins de rebondissements, mon quotidien n'est jamais le même !
casanier, j'ai ma petite routine et c'est tout.
rempli de fêtes et de sorties, au moins je ne m'ennuie jamais !

❅ Niveau boulot, vous êtes plutôt... :
Ultra pro, on peut même dire que je suis un/une workaholic.
Ouais bon, ça paye la bouffe mais c'est pas non plus super important.
Comment ça travailler ?

❅ Vivre à Gstaad, pour vous c'est... :
Le rêve total, boîtes de nuit et luxe sont toujours au rendez-vous !
Pas vraiment fantastique, c'est trop surfait, mais on a pas toujours le choix dans la vie.
Le temps des vacances c'est bien, ça permet de se détendre, mais je préfère mon lieu d'origine !

❅ Sinon, vous préférez quand... :
Il fait soleil, je ne supporte pas la grisaille !
De la neige, c'est tellement beau !
De la pluie, ou tout du moins un ciel couvert, le soleil ce n'est pas trop mon truc.

❅ Par contre côté cœur, vous êtes plutôt.... :
Romantique à souhait, un dîner aux chandelles et la soirée est parfaite !
Les relations d'une nuit, il n'y a que cela de vrai, au moins, pas de complications !
Ça va, ça vient, ce n'est pas franchement le plus important pour moi.

« votre histoire »
Il n’est plus là. T’es sur ce sofa miteux, tes yeux scrutent le plafond comme s’il allait te tomber dessus, tu dois avoir 2g d’alcool dans le sang, et tu t’en fous putain. Il n’est plus là. Ses bras ne sont plus autour de toi, son parfum s’envahi plus l’appartement, tu es seule. Terriblement seule. Ta respiration s’accélère sans que tu le veuilles, tu fermes les yeux et tu te calmes comme tu peux mais c’est déjà ça. Tu essuies une larme au coin de ton œil, tu tends le bras derrière toi pour attraper le cadre posé sur la table. Dedans une photo, Lui et toi à Paris, les sourires sur vos visages montrent à quel point vous étiez heureux à quel point tout était simple avec lui. Rien n’est simple maintenant, rien ne sera jamais simple maintenant. Pourtant tu savais que l’amour n’apportait que des emmerdes, depuis toujours, tu te revendiquais sans attache de cette jeunesse dorée qui baise pour un verre offert en boîte. Oui tu étais de ce genre-là, enfin tu l’as toujours été. Et puis il est arrivé aussi excessif que toi, mais plus naïf, lui croyait en l’amour le vrai, celui qui te transcende celui pour qui tu ne dors pas jusqu’à 3h du mat, celui qui te coupe le souffle et qui te fou des papillons dans le ventre, cet amour-là. Il t’a pris dans ses bras et a juré de ne jamais te lâcher et toi comme une conne t’y a cru, parce qu’il était beau, parce que tu l’aimais, oui tu l’aimais t’envisager même ton avenir avec lui, il était tout ce que t’avais toujours voulu. Et puis un jour, tout a basculé. Comme si quelqu’un là-haut voulait te faire payer tes frasques passées ou alors parce que c’est tombé sur vous par hasard sans savoir pourquoi. Tu le revivais un peu chaque jour. Vous étiez là rentrant de soirée tous les deux éméchés, lui plus que toi, il buvait toujours plus que toi. Il marchait au lieu de la route en chantant pour te faire rire, parce qu’il adorait ton sourire, il le disait tout le temps, il était quatre heures du matin et il n’y avait pas de voiture, enfin c’est ce que vous croyiez parce qu’il y en avait une en définitive, un homme qui partait travailler, qui s’était engueulé avec sa femme ce matin-là et il ne l’a pas vu, enfin si mais trop tard. Tu te souviendras toujours du bruit de son corps contre le métal, de son corps expulsé 6 mètres plus loin, désarticulé, du bruit des sirènes de pompiers, de la voie du pompiers qui voulait te faire sortir de ta torpeur, de ses paroles quand il t’a dit qu’il n’avait pas souffert, qu’il était mort sur le coup. A présent tu étais là dans cet appartement trop grand pour toi toute seule, tes parents avaient bien essayé d’être compatissants mais ils ne l’avaient pas été en 22 ans, alors leur tentative était pathétique. Tu ne voulais qu’une chose en définitive. Repartir de zéro, ailleurs loin de Londres, loin de tes parents de sa famille, ta vie qui te rappeler sans cesse qu’il n’était plus là. Tu avais demandé à ton père qu’il te fasse engager quelque part même un endroit miteux, tu avais besoin de passer à autre chose de continuer ta vie. Il t’avait trouvé une place de serveuse en Suisse dans un grand hôtel. C’était parfait. Tu ne voulais pas de cette richesse qui ne vous avez pas préservé, lui et toi, tu voulais un nouveau départ, une nouvelle vie. Pour toi, en sa mémoire. Alors tu avais enfilé ce masque de la parfaite salope insensible qui t’allait si bien dans le temps et tu es partie. « Pardon James, d’être ce que tu ne voulais pas que je sois mais tu n’es plus là » T’avais laissé ce papier sur la table comme si il allait le voir en rentrant comme s’il était encore là, mais c’était ta façon à toi de lui dire adieu.