[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]vous prendrez bien du maquereau ✩ et tu danses sur ce refrain qui te plait, quoi comment ça c’est pas ça la chanson ? bien sûr que c’est ça, vous y connaissez rien. enfin de toute façon pour l’instant, tu t’en fous capu pour la bonne et simple raison que t’as fini de bosser et que ce soir c’est « party hard » comme dit les jeunes. tu retrouves tes amis au greengo, c’est un peu votre qg. faut dire c’est le lieu le plus branché de gstaad pour faire la fête alors forcément qu’on vous trouve là-bas. t'as envie de te défouler en plus, t’as passé une journée de merde au boulot. un touriste anglais t’a cassé les pieds parce que son cocktail lui plaisait pas. GENRE. tout le monde adore tes cocktails allons. enfin c’est déjà du passé, ce soir tu oublies tout. en plus tu portes une robe, si, si c’est rare mais t’en portes une. bon ok, tu l’avoues, elle appartient à anna mais vous partagez tout le temps vos vêtements. donc tu portes une petite robe moulante noire qui te met particulièrement en valeur. y a pas à dire t’es craquante. mais c’est le but de l’opération après tout. tu regardes qui est là, pas là. t’aperçois « la bande » dans un coin et surtout beauf avec une fille sur les genoux. un sourire machiavélique se dessine déjà sur ton visage. voilà de quoi te divertir dès le départ. tu t’avances vers eux, furax. tu te plantes à un mètre d’eux avant de « crier » : écarte-toi de mon mec tout de suite, pétasse. elle te regarde un peu décontenancée. quoi t’as pas compris ? on t’a jamais dit de pas draguer les mecs des autres. vu ton regard meurtrier, elle se lève vite-fait bien fait de peur de se faire trucider. t'en profite pour t’asseoir à côté de beauf et de lui dire : désolé mon grand, c’est pas ce soir que tu souilleras une autre femme avec tes piètres prestations sexuelles. et tu te sers à boire tranquillement. que les hostilités commencent. ah capu et beau sont amis, je pense que c’est important de le rappeler.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]mollusques ✩ salut, toi. tu tournes la tête, trop accaparé par la conversation initiale que tu avais avec tes amis. une divine brune s'approche de toi, des yeux bleu comme des opales, et te regarde en souriant. salut. besoin d'aide? tu savais à quoi elle jouait. ce devrait être une mauvaise jet-setteuse venue faire la fête pour le week-end. ce genre de demoiselles étaient, en réalité, ton fond de commerce. t'en avais deux différentes par semaine, et cela te plaisait. elle prenait leur pied, et toi tu variais. je ne trouve pas de place pour m'asseoir.. apparemment, la subtilité n'était pas de son fait. rigolant, tu te redressais et serrais les jambes, te tapotant la cuisse pour lui proposer de s'installer. elle le faisait volontier, cambrant exagéremment son dos, laissant apparaitre des courbes parfaites. tu étais satisfait de ta nouvelle proie de la soirée, qui commençait à discuter avec toi et tes amis. elle te regardait souvent, presque tout le temps. tu lui souriais, intrigué. et puis, t'entendit cette voix que tu connaissais déjà et qui ne présageait rien de bon.. capute. écarte-toi de mon mec tout de suite, pétasse. tu la regardais, hébété: qu'est-ce qu'elle faisait. la blonde la regardait de la tête au pied. tu rigolais. il est vrai que la planche à pain ne faisait pas le poids fasse à cette bombe qui était installé sur toi. quoi t’as pas compris ? on t’a jamais dit de pas draguer les mecs des autres. tu commençais à bougonner. elle allait vraiment tout faire foirer. mais c'est ce qu'elle cherchait. tu posais ta main sur la taille de la belle brune, pour ramener son attention sur toi. ne l'écoutes pas, c'est une connaissance qui cherche à te faire fuir. la jalousie n'a pas de limite. mais, il était déjà trop tard. vexée de ses propos, la jolie brune s'était déjà levée et avait déjà quitté sa place, te laissant seul et sans proie. victorieuse, la capucine de malheure s'installe à tes cotés, tout sourire. désolé mon grand, c’est pas ce soir que tu souilleras une autre femme avec tes piètres prestations sexuelles. tu reprenais ton verre en main, buvant une gorgée, avant de la regarder. et expliques-moi pourquoi tu reviens à chaque fois pour en réclamer encore, si tel est le cas? ne te fais pas trop d'illusion ma jolie, tu ne m'excites pas. il lui lança un regard en coin, attendant une réaction de sa part. depuis ce soir-là, ils s'amusaient à se pourrir mutuellement la vie. à coup de grossièreté, à coup d'interruption de conquêtes comme elle venait de le faire. c'était un jeu, car sur le fond, tu l'appréciais. un peu. tu aurais surement préféré l'avoir pour toi, mais désolé, je crois que ce qu'elle cherche n'est pas de se faire bouffer la chatte, mais quelque chose d'un peu plus.. profond. et tu lui faisais le plus grand des sourires que jamais tu n'avais fait. tu aimais par moment tes répliques cinglantes, mais celle-là te plaisait vraiment. comment vas-tu? car oui, malgré tout, vous arriviez parfois à avoir des conversations banales. parfois.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]vous prendrez bien du maquereau ✩ et expliques-moi pourquoi tu reviens à chaque fois pour en réclamer encore, si tel est le cas? ne te fais pas trop d'illusion ma jolie, tu ne m'excites pas. un sourire ironique se dessine à nouveau sur ton visage. oh vraiment ? tu pensais que c'était pourtant clair : tu ne voulais pas de lui. déjà la première fois, c'était histoire de ne pas mourir bête on va dire mais maintenant que tu savais ce qu'il en était, tu n'avais aucun intérêt à coucher avec lui. certes, il était plutôt doué parce qu'il avait beaucoup d'entraînement mais c'est tout. il n'y avait pas de connexions entre vous. tu aurais surement préféré l'avoir pour toi, mais désolé, je crois que ce qu'elle cherche n'est pas de se faire bouffer la chatte, mais quelque chose d'un peu plus.. profond. tu ris, il n'a vraiment aucune retenue mais ça tombe bien toi, toi non plus. oh je te rassure pour ça, mon auriculaire suffit. prends ça dans tes dents. certes c'était plus facile de gagner un tel combat quand on est hétéro puisque l'hétérosexualité est la norme mais tu n'as pas dit ton dernier mot, tu ne le diras jamais. comment vas-tu? ah, une parole gentille, enfin. en même temps c'est de bonne guerre. ça va, prête à prendre mon pied ce soir. tu aurais bien rajouté un pic mais tu te retiens, pour une fois. et toi ? toujours au même endroit, hein ? sourire franc. ce n'est pas tellement une moquerie, comme tu l'as déjà dit, vous êtes des habitués, normal que vous soyez toujours au même endroit. ça a même un côté rassurant de voir que certaines choses ne changent pas. à part miss péroxydée, y a-t-il des 'proies' intéressantes ?

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]mollusques ✩ oh je te rassure pour ça, mon auriculaire suffit. tu rigolais. la fougue de cette demoiselle te surprenait toujours. ainsi que sa candeur à te laisser gagner. tu la regardais, rigolais. tu fais faire tes gants sur mesure alors? car un anaconda n'y rentre pas facilement.. car elle savait que tu n'avais pas à te plaindre de ce coté là. certes tu exagérais quelque peu, mais après l'euphémisme qu'elle venait de faire, c'était de bonne guerre. elle s'adoucissait, comme à chaque fois. c'était une guerre entrecoupée, car vous commenciez à vous supporter depuis quelques années. ça va, prête à prendre mon pied ce soir. tu souriais. elle était toujours prête à ramener quelqu'un d'autre chez elle, la collectionneuse. tu t'es fais dépister récemment? car avec tous les trucs que tu touches et que tu mets à la bouche, tu dois être dégueulasse de mst. tu rigolais. tu savais qu'elle allait te rétorquer que tu étais bien plus sale qu'elle, mais tu avais la conscience tranquille: contrairement à elle, tu te protégeais à chaque fois et tu te faisais dépister régulièrement. un monde de vie aussi particulier demander des mesures d'hygiène particulières. et toi ? toujours au même endroit, hein ? tu souriais, regardant autour de toi. on change pas une équipe qui gagne, et comme la troupe est pas là.. j'essaye de me fondre dans la masse pour mieux attirer les regards. car oui, plus on était au centre de tout, plus on nous regardait. il voyait les demoiselles tourner, danser, le regarder. il appréciait. à part miss péroxydée, y a-t-il des 'proies' intéressantes ? tu haussais les épaules et but une gorgée de ton cocktail; dégueulasse au passage. très sincérement, ce soir c'est un peu dérisoire. même la blondasse était pas extra. on a connu meilleur fournée. tu regardais autour de toi, autour de vous. tu en repérais une. celle-là peut être, la brunette là-bas, en robe dégueulassement courte et rouge. tu bus une gorgée et finit ton cocktail. on se la prend à deux si tu veux, et vue qu'elle est pas fameuse, on la lâche quand elle est bien chaude. tu regardais ta future partenaire de jeu. comment capute allait-elle pouvoir refuser une telle offre? la possibilité de faire tourner en bourrique une richette jet-setteuse russe aux seins refaits, la séduire, la tenter et au final, la laisser en rigolant. l'ultime humiliation. au passage, faut vraiment que tu files des cours au barman, parce que ces cocktails sont dégueulasses. car, qu'on se le dise, t'es meilleure derrière un bar que dans un plumard. c'était reparti.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]vous prendrez bien du maquereau ✩ mais mst toi-même, petit con ! t'avais pas plus de mst que lui, non mais c'est très bas ce coup-là. et son anaconda, il veut vraiment en parler ? ils doivent pas visualiser le même reptile. très sincérement, ce soir c'est un peu dérisoire. même la blondasse était pas extra. on a connu meilleur fournée. t'en bois tellement ça déprime, si y a même pas une belle friandise à se mettre sous la dent, à quoi ça sert de s'apprêter ? en plus, c'est le meilleur moyen de rattraper une journée médiocre. t'es pas sérieux, j'avais besoin de ça ce soir. tu savais parfaitement que t'avais l'air misérable après de telles paroles mais bon c'était la vérité. et même si beau était un connard, c'est ton pote le connard alors tu pouvais bien lui dire de telles choses. on se la prend à deux si tu veux, et vue qu'elle est pas fameuse, on la lâche quand elle est bien chaude. ouais, pourquoi pas ça pourrait être amusant et vu que de toute manière, y avait pas grand chose de mieux à faire. certes vous pourriez ne pas draguer, juste discuter entre amis mais allons, vous êtes beauf et capute ! au passage, faut vraiment que tu files des cours au barman, parce que ces cocktails sont dégueulasses. car, qu'on se le dise, t'es meilleure derrière un bar que dans un plumard. et voilà, il peut pas s'en empêcher le saligot, un compliment, juste un, ça l'aurait pas tué ! merci, je suppose. tu bois une nouvelle gorgée avant de rajouter. au moins, je suis douée en quelque chose, moi. appelle moi quand t'auras trouvé ton talent. et voilà mon chou, tu cherches tu trouves.
tu tournes ta tête pour revoir l'image de miss péroxydée. franchement elle est vraiment pas belle. même la tonne de rajouts qu'elle a sur la tête cache pas la mocheté derrière. ok pour ton plan. ça me divertira d'être méchante en plus vu sa tronche, je suis sûre qu'elle est homophobe. et ça tout le monde savait que c'était quelque chose que tu détestais par dessus tout.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]mollusques ✩ merci, je suppose. tu lui souriais gaiement. mais de rien, c'est toujours un plaisir de te complimenter. et elle renchainait; enfin! tu n'attendais que ça. au moins, je suis douée en quelque chose, moi. appelle moi quand t'auras trouvé ton talent. tu rigolais et lui souriais encore plus. mon talent, c'est d'énerver les gens. surtout toi, parce que c'est quand même bien plus marrant. et puis, elle retournait son attention vers la demoiselle que vous aviez repéré. elle la regardait de haut en bas, haussant les épaules et prenant une moue simplette. ok pour ton plan. ça me divertira d'être méchante en plus vu sa tronche, je suis sûre qu'elle est homophobe. tu éclatais litteralement de rire, et acquiesçais. elle était dure, mais réaliste. elle va pas comprendre que deux perfections comme nous s'interesse à elle. allez, viens donc, collectionneuse de malheur. tu te levais et lui tendait théâtralement la main pour l'aider à se relever. elle acceptait, un léger regard moqueur dans les yeux et vous vous dirigiez vers ladite demoiselle, qui vous regardait depuis tout à l'heure. elle était appuyée contre le bar avec d'autres copines à elle. vous vous frayez un chemin au milieu, pour vous mettre juste en face d'elle. salut, divine créature. tu bois quelque chose? la jeune femme acquiesça rapidement, ne comprenant pas ce qui lui arrivait. beau lui souriait, capucine avait déjà son bras autour de ses épaules, la main étant non loin d'un des affreux sein refait de la demoiselle. elle savait gérer les dames avec peu de subtilité; l'avantage de partager le sexe de la future victime. tu souriais au deux, et tu lançais un coup d'oeil au barman, qui t'amenait trois shots de vodka. facile, mais efficace. tu tendais les verres au jeune femme, et amenais le tien à hauteur de visage. trinquons à tout ce que cette soirée va pouvoir nous amener.., disais-tu en fixant intensément la jeune demoiselle qui se voyait déjà dans ton lit en train de faire des galipettes. si seulement elle savait..

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]vous prendrez bien du maquereau ✩ il se mit à rire. bah tu savais bien que t'étais hilarante comme fille, t'avais clairement raté ta vocation d'humoriste. et pourtant tu étais plus que sérieuse. elle va pas comprendre que deux perfections comme nous s'interesse à elle. allez, viens donc, collectionneuse de malheur. un compliment sans pic derrière. HALLELUJAH ! bon il se faisait un compliment au passage, cela expliquait le reste. tu dis de malheur parce que je te pique les plus belles filles, c'est ça, hein ? pas de ma faute si je suis meilleure que toi. il t'aide à te relever, tu prends sa main et en avant pour le fun. t'as envie de t'amuser, lui aussi : let's get the party started. en moins de deux vous étiez près de votre proie : salut, divine créature. tu bois quelque chose? il savait y faire quand même, y avait pas à dire. paroles suaves, regard de braise, comment ne pas fondre ? toi t'en profitais pour prendre tes aises, ton bras autour des épaules de la demoiselle, la main non loin du sein. tu savais très bien que pour une fille, la poitrine c'est plus que primordial. elle aime savoir que ses attributs sont appréciés. trinquons à tout ce que cette soirée va pouvoir nous amener.. tu buvais ton shooter cul sec comme tes deux compères. comme toujours la vodka te brûle un peu la gorge. t'as beau boire régulièrement, y a des choses qui changent pas. tu tournes vers la brunette avant de lui dire : tu viens souvent dans le coin ? je crois pas, je t'aurais déjà vu sinon, une beauté comme toi. t'étais pas connue pour tourner autour du pot. oh non la collectionneuse fonçait droit devant et transformer l'essai. mon ami ici présent a failli en faire tomber son verre quand il t'a vu. évidemment tu parles de beau. tu vas l'épargner même si vous êtes dans la même équipe, ça serait moins jubilatoire sinon...

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]mollusques ✩ tu dis de malheur parce que je te pique les plus belles filles, c'est ça, hein ? pas de ma faute si je suis meilleure que toi. tu roulais des yeux, soupirant fortement. non, le malheur est que tu sois aussi mal foutue pour quelqu'un qui s'auto-proclame "collectionneuse". mais l'avantage est que tu récupères toutes les caves comme celle qu'on va voir, qui ne trouvent rien de mieux qu'une nana pour terminer la nuit. tu la regardais et lui fit un clin d'oeil, symbole de l'ironie de ta tyrade. et vous arriviez au niveau de l'atrocité. tu voyais bien le regard de capucine, saluant ton entrée en matière et ta gestuelle. tu avais l'habitude de ce genre d'amusement, les cotoyant chaque soir que tu passais en ces lieux. et puis, capucine, d'une moue mutine, lui dit ceci: tu viens souvent dans le coin ? je crois pas, je t'aurais déjà vu sinon, une beauté comme toi. tu t'obligeais à légèrement baisser la tête pour cacher l'immense sourire qui s'y était dessiné sans crier garde. elle ne pouvait dire d'aussi grosses conneries, tu ne pourrais t'empêcher de rire. oui, car capucine ici présente aime beaucoup les beautés dans ton genre.. elle me les pique souvent, et je lui cède la victoire bien difficilement. tu en rajoutais, regardant de plus près l'étendu des dégâts qu'avaient fait la chirurgie sur le visage de la fille. elle semblait perturbée par cette situation, mais étonnamment satisfaite. et c'est alors que capucine en rajoutait une couche, que tu ne t'attendais pas à avoir. mon ami ici présent a failli en faire tomber son verre quand il t'a vu. tu t'ettoufais presque sur place, reprenant la chose en faisant semblant de tousser. tu les regardais toutes les deux, le regard de ta complice amusée. tu la détestais autant que tu l'adorais. si on part dans ces considérations là, dois-je dire à notre chère amie ce que tu m'avais joliment dit sur l'état d'hydratation de ta culotte en dentelle? car elle m'a fait une métaphore assez extraordinaire avec les chutes du niagara, ou quelque chose comme ça en comparatif. tu regardais capucine, amusé. mais nous sommes malpolis: comment tu t'appelles, jolie demoiselle? les mots te faisaient mal aux lèvres. elle semblait sourire de son visage figé, trop tiré, et ses lèvres se mirent à bouger. clarissa. tu lui souris. magnifique prénom. et donc, clarissa, nous ferais-tu l'honneur de venir danser avec nous? tu lui tendais légèrement la main, et lui lançais des oeillades de braise. comment pouvait-elle résister à ceci? même capucine semblait chavirer. tu étais assez doué pour ce genre de petites choses.

[Vous devez être inscrit et connecté pour voir cette image]vous prendrez bien du maquereau ✩ sa réaction valait de l'or. t'es tellement fière de toi et tu retenais d'exploser de rire. EXCELLENT. tu en voulais encore, encore, encore. si on part dans ces considérations là, dois-je dire à notre chère amie ce que tu m'avais joliment dit sur l'état d'hydratation de ta culotte en dentelle ? car elle m'a fait une métaphore assez extraordinaire avec les chutes du niagara, ou quelque chose comme ça en comparatif. mais nous sommes malpolis : comment tu t'appelles, jolie demoiselle ? SALAUD. ça c'était bas, très bas et petit, très petit. en plus beau était très bien placé pour savoir que tu n'étais pas du genre à porter des culottes en dentelles. bah quoi ? vous partagiez la même chambre. arrêtez vos pensées salaces de suite. certes ils ont couché ensemble mais c'était l'histoire d'une fois. clarissa. clarissa où le prénom de la pouffe par excellence qui descend elle-même d'une pouffe. une mère, une dame digne de ce nom n'aurait jamais appelé sa fille clarissa. voyons c'était la mort de la reconnaissance et de la prise en considération assurée. enfin tu critiques, tu critiques mais excuse-nous, rappelle-nous l'un de tes surnoms, capute ? bonjour la prise en considération et la reconnaissance là-aussi. tu veux qu'on recentre le débat sur clarissa ? oui, ok, j'ai compris. je garde mes observations et commentaires sur toi pour moi. bref, fin de la parenthèse.
donc plus tu en savais sur la personne, plus tu la détestais ou en tout cas la méprisais. beauf évidemment qui faisait le con, c'était de bonne guerre mais tout de même, fallait bien reconnaître : ça te faisait grave chier. pourquoi aviez-vous commencé ce jeu débile au juste ? ah oui, parce qu'il y avait rien de mieux à faire. vous étiez les deux seules personnes dignes d'intérêt et soyons francs : vous aviez déjà tenté l'expérience par le passé, ça n'avait pas fonctionné. recommencer n'était pas envisageable, ni souhaité... autant pour toi que pour lui.
magnifique prénom. et donc, clarissa, nous ferais-tu l'honneur de venir danser avec nous ? et vas-y que je te balance mon regard des plus enjoleurs. il était doué, il n'y avait pas à dire. même à toi, ça te faisait un petit effet. elle ne dit même pas mot, elle suit et toi derrière. allez c'est le moment de la finir. vous êtes en place et elle commence à onduler : telle une pouffe de manière donc assez vulgaire et vu qu'elle porte une mini-robe, on voit limite tout ce qu'il y a en dessous. rah fait pas la difficile capu, tu t'es tapé bien pire, on le sait. tu joues le jeu, tu la colles au maximum. et tu pousses le vice jusqu'au bout en la touchant de manière sensuelle. et toi aussi tu te gênes pas à faire ton regard de braise parce qu'après tout, tu sais le faire aussi. tu sens bien que clarissa est en train de la mouiller, sa culotte. elle a jamais du se faire draguer par un mec et une fille en même temps, alors tu penses, ça l'excite grave. et évidemment tu portes le coup de grâce en l'embrassant. heureusement que t'as avalé de l'alcool avant, ça t'a un peu aseptisé la bouche. quoi on sait pas trop où ça traine les bouches des clarissa. et cela est dit avec la plus grande objectivité. tu rompts l'échange assez rapidement alors qu'elle se montre très insistante et envieuse. tu sais bien que t'es irrésistible. sourire malicieux aux lèvres, tu lui dis : doucement, on a tout notre temps. et tu lui montres beau de la tête, lui insinuant : on est trois, chérie.