« anecdotes »Elle vient d’une riche famille australienne, son père fait partie des plus grandes fortunes d’Australie et sa mère est une actrice mondialement connu. ❅ Elle est totalement tarée, elle a foutu le feu à son dortoir parce que non contrairement à ce que veut son père elle ne sera pas chirurgien ou docteur ou peu importe ❅ Elle a eu une éducation ultra stricte, son père pouvait être violent et buvait beaucoup. Il fallait allait dans son sens pour ne rien avoir. ❅ Elle est en suisse parce que son père l’a envoyé là-bas pour qu’elle réfléchisse à ses actes ❅ Elle est connu en Australie pour faire les meilleures fêtes possible  ❅ C’est une Salope. Soyons honnête elle prend les hommes pour des kleenex et les jeunes femmes aussi. Tant que tu lui seras utile elle te gardera près d’elle une fois, dès que tu n’as plus grâce à ses yeux, tu n’existes plus ❅ Elle ne fume que des Lucky Strike et beaucoup trop d’ailleurs. Elle a aussi essayé toute les drogues possibles et imaginables ❅ Elle est menteuse, manipulatrice, excessive, détestable, froide, calculatrice mais elle aussi de bons côtés il faut juste être bien accroché pour les trouver, mais c’est une fille amusante, attachante, même sympa avec un bon fond si si elle est juste paumée.  ❅ Elle dessine très bien et elle adore ça elle aimerait d’ailleurs devenir graphiste ou illustratrice ❅ Elle est très intelligente même si ça ne se voit pas au premier abord et c’est une férue de philosophie ❅ Elle a un frère pour qui elle a de l’estime c’est sans doute la seule personne pour qui elle a de l’estime même s’il ressemble énormément à leur père  ❅ Elle est à Gstaad depuis 2 semaines ❅ Elle passe ses matinées à dessiner dans sa chambre d’Hotel, ses après-midi à skier et le soir dans des bars avec un verre de Whisky. ❅ Elle a eu de très nombreuses conquêtes elle ne les compte plus, elle sait qu’elle plait et elle adore en jouer, et puis un coup d’un soir n’a jamais fait de mal à personne surtout pas à elle. ❅ Son père voudrait qu’elle trouve son futur mari pendant ses « vacances » car il est inconcevable pour lui qu’à 25 ans sa fille n’ait personne et riche évidemment.

« questionnaires »
pour cocher, ajouter le mot checked après votre choix, comme présenté dans chaque première réponse du questionnaire. supprimer ce message en italique, merci ♥
❅ Si vous deviez qualifier votre train de vie, vous diriez qu'il est... :
pleins de rebondissements, mon quotidien n'est jamais le même !
casanier, j'ai ma petite routine et c'est tout.
rempli de fêtes et de sorties, au moins je ne m'ennuie jamais !

❅ Niveau boulot, vous êtes plutôt... :
Ultra pro, on peut même dire que je suis un/une workaholic.
Ouais bon, ça paye la bouffe mais c'est pas non plus super important.
Comment ça travailler ?

❅ Vivre à Gstaad, pour vous c'est... :
Le rêve total, boîtes de nuit et luxe sont toujours au rendez-vous !
Pas vraiment fantastique, c'est trop surfait, mais on a pas toujours le choix dans la vie.
Le temps des vacances c'est bien, ça permet de se détendre, mais je préfère mon lieu d'origine !

❅ Sinon, vous préférez quand... :
Il fait soleil, je ne supporte pas la grisaille !
De la neige, c'est tellement beau !
De la pluie, ou tout du moins un ciel couvert, le soleil ce n'est pas trop mon truc.

❅ Par contre côté cœur, vous êtes plutôt.... :
Romantique à souhait, un dîner aux chandelles et la soirée est parfaite !
Les relations d'une nuit, il n'y a que cela de vrai, au moins, pas de complications !
Ça va, ça vient, ce n'est pas franchement le plus important pour moi.

« votre histoire »
« Bee, père veut te voir » Je levais les yeux de mon livre, pourtant intéressant pour les lever vers mon frère. Adriel me sourit en croisant mon regard, il avait ce regarde bienveillant qu’à un frère pour sa sœur. Il était sur le pas de ma porte aussi digne qu’on peut l’être, mes parents avaient au moins réussi un enfant sur deux. Il avait tout, le charisme, l’intelligence, le savoir-vivre. Le parfait fils à papa, le cliché du fils à papa même pourtant lui et moi savions qu’il était loin, très loin de l’être. Je me levais enfin, et posait me livre sur ma table de nuit avant de rejoindre Adriel à la porte. Je n’avais pas dit un mot, tout d’abord parce que ça ne servait à rien mon père trouvait toujours quelque chose à me reprocher et je ne comptais plus le nombre de fois où mon frère était venu me chercher dans ma chambre parce que notre père voulait me parler. J’avançais donc vers le salon d’un pas décidé. Ce salon que j’avais traversé un million de fois, à chaque fois que mon père avait quelque chose à me dire en définitive. Il m’attendait là assis sur son fauteuil bleu roi qui avait dû couter plus cher de le salaire annuel certaines personnes avec son verre de scotch à la main à 89 $ la bouteille qu’il vidait en une journée quand il était en forme et son regard toujours froid. Je ne me souviens pas – ou alors j’étais trop jeune pour m’en souvenir- que mon père m’ait ne serait-ce qu’un tout petit peu porté d’intérêt. Il était cet homme aux cheveux blond légèrement gris qui avait eu une éducation stricte faite de privation et d’attente importante, il avait été toute sa vie le parfait petit soldat. Il avait repris le flambeau de son père, avait gagné encore plus d’argent alors qu’il était déjà outrageusement riche, il avait épousé une jeune femme d’une beauté sans nom, étoile montante du cinéma, avait eu deux beaux enfants et il attendait que mon frère et moi soyons tout comme lui de parfait petit soldat avec un avenir tout tracé pour chacun d’entre nous. J’avais voulu lui dire. Non papa je ne serais pas une brillante chirurgienne à parcourir le monde pour sauver des vies. Je me fiche de sauver des vies, j’en ai pas envie. Pour toutes réponses et comme avec chaque fois j’avais reçu des claques, accompagnées de « comme si tu avais le choix ». J’y étais habituée. Ne vous y méprenez pas je savais parfaitement pourquoi j’étais convoquée. J’étais donc fasse à lui, ma mère n’était pas là, elle n’était jamais là. « Breeony … La faculté m’a appelé en me disant qu’un incendie c’était déclaré dans ta chambre et tu en serais l’auteur » Je ne pus m’empêcher d’esquisser un léger sourire amusé. Parce que c’était là qu’était ma force, il pouvait me forcer à faire mes études de médecine mais je pouvais très bien tout faire pour ne pas réussir mes études de médecine, pour ne pas me marier pour tout faire comme il ne voudrait pas que je fasse. « Oui j’ai joué dans des allumettes sur mon lit la dernière fois et je ne suis pas sûre de les avoir toute éteinte » C’est à ce moment-là que je vis mon père devenir rouge pivoine, de rage, d’exaspération de tout. Il aurait pu me tuer je pense, voir sa chère fille filer autant du mauvais côté c’en était trop beaucoup trop. Peut-être étais-je allée trop loin, sans doute même à bien y réfléchir mais le mal était fait et je l’assumais peu importait les conséquences. Les coups je savais les encaisser depuis des années alors deux claques de plus ou deux moins, un sermon et quelques interdictions plus tard je savais que je ne risquais pas grand-chose, enfin je pensais ne risquer pas grand-chose.
Mon père n’avait pas bougé, c'est ce qui m’aurait dû me mettre la puce à l’oreille. Il était resté assis dans ce même fauteuil bleu, il avait bu une gorgée de sotch, il l’avait posé méthodiquement sur la table avant de tourner ses grands yeux bleus vers moi d’une froideur que je ne connaissais que trop bien j’avais la même dans les yeux. « Tu sais quoi Breeony je n’ai pas envie de me battre contre toi, j’en ai assez que tu salisses notre nom avec toute tes frasques, tes soirées, tes coucheries, ta drogue, la une des journaux toutes les semaines, je pense que tu dois partir réfléchir à ton comportement, si ça doit durer 2 semaines, 1 mois, 2 mois, 1 an je m’en contre fou mais si tu veux revenir ici chez toi, tu seras mariée et décidé à finir tes études » J’avais cessé de respirer quelques instants, au fond est ce que ça me déranger vraiment de partir ? Non au moins je pouvais bien faire ce que je voulais. J’allais ouvrir la bouche mais mon père reprit la parole d’abord. « C’est ta dernière chance Breeony, tu pars en Suisse je t’ai pris une chambre à l’hôtel de Gstaad, tout sera payé peut être que l’air des montagnes te fera du bien, je l’espère » Le Majordome m’apporta ma valise et le billet d’avion où il était indiqué que je partais tard dans la nuit. Mon père était naïf croire que m’éloigner de l’Australie me calmerait était une lourde erreur mais je l’allais pas cracher dessus.